claire-46
lundi 23 mai 2011
Mon agenda ???
23797 jours depuis ma naissance...
et déjà
14834 jours passés avec l'homme de ma vie
soit 62,34 % de ma vie avec LUI
Souvenirs de Corse
Anatoly Karpov
Anatoli Ievguenievitch Karpov (en russe : Анатолий Евгеньевич Карпов), né le 23 mai 1951 à Zlatooust, dans l'oblast de Tcheliabinsk en URSS, est un joueur d'échecs russe. Il est grand maître international d'échecs depuis 1970 et ancien champion du monde. Il a disputé dix finales du championnat du monde de 1978 à 1998 et possède un des plus grands palmarès de l'histoire du jeu avec, en juillet 2005, plus de 160 premières places, seul ou ex æquo, en tournoi, compétition par équipes ou match à son actif.
Anatoli Karpov (Tolia), né en 1951, apprit à jouer à l'âge de 4 ans et à 11 ans il devenait candidat à la maîtrise. À 12 ans, il fut admis dans la prestigieuse école d'échecs de Mikhaïl Botvinnik à Moscou. Ce dernier aurait alors dit à son sujet : « Ce garçon ne comprend rien aux échecs et il n'a aucun avenir dans cette profession ». Mais l'enseignement du père des échecs soviétiques développa rapidement sa compréhension de la théorie, puisque, à l'âge de 15 ans, Karpov devenait Maître des sports de l'URSS (1966) et égalait ainsi le record de précocité que Boris Spassky avait établi en 1952. De 1964 à 1967, Karpov disputa quatre championnats d'URSS junior, sans jamais dépasser la cinquième place.
Après une victoire lors du tournoi international de Třinec (+9 =4) en 1966-1967, Karpov remporta en 1967-1968 le championnat d'Europe junior de Groningue (+4 =3) et, en 1969, le championnat du monde junior à Stockholm avec dix points sur onze en finale (+9 =2). Grâce à cette victoire, il obtint le titre de maître international et devenait le premier Soviétique depuis Boris Spassky en 1955 à remporter ce championnat.
En 1968, il entra à l'Université d'État de Moscou pour étudier les mathématiques, puis il demanda son transfert vers l'Université d'État de Léningrad d'où il sortit avec un diplôme d'économie. La raison principale de ce déménagement était de se rapprocher de son entraîneur Semion Fourman.
Son classement (4e - 6e avec +8 -2 =7) au tournoi international de Caracas lui fit obtenir le titre de grand maître international en 1970. En 1971, il remporta la demi-finale du 39e championnat d'URSS avec 13 points sur 17 (+9 =8), puis s'adjugea la quatrième place de la finale dudit championnat à Léningrad (+7 -2 =12) qui le qualifia pour l'un des deux tournois interzonaux.
Sa première grande sortie parmi l'élite internationale lors du Mémorial Alekhine à Moscou en 1971 fut couronnée de succès. Il partagea la première place (+5 =12) ex æquo avec Leonid Stein en devançant Vassily Smyslov, Tigran Petrossian, Boris Spassky et Mikhaïl Tal, tous quatre ex-champions du monde. Et trois semaines plus tard, il remportait, ex æquo avec Viktor Kortchnoï, le tournoi de Noël d'Hastings (+8 -1 =6). L'année 1972 fut surtout consacrée aux compétitions par équipes (Olympiade des Étudiants à Graz et Olympiade de Skopje). Il ne participa qu'au tournoi de San Antonio (Texas, États-Unis) où il termina 1er ex æquo avec Tigran Pétrossian et Lajos Portisch (+7 -1 =7).
Ma quotidienne
On peut marcher dans la nuit la plus noire
et avoir la conviction radieuse
que toutes les choses oeuvrent pour le bien.
(M. Luther King Jr.)
Dimanche 22 mai 2011
HERGE
Hergé, de son vrai nom Georges Prosper Remi né le 22 mai 1907 à Etterbeek et mort le 3 mars 1983 à Woluwe-Saint-Lambert, Belgique. Il est un auteur belge de bande dessinée francophone, principalement connu pour Les Aventures de Tintin.
D'abord dessinateur amateur d'une revue scoute, il signe ses planches du pseudonyme « Hergé » à partir de 1924. Quelques mois plus tard, il entre au quotidien Le Vingtième Siècle, dont il devient rapidement l'homme providentiel grâce aux Aventures de Tintin. Celles-ci débutent le 10 janvier 1929 dans un supplément du journal destiné à la jeunesse, Le Petit Vingtième. Importateur de la bande dessinée américaine à bulles, il est souvent considéré comme « le père de la bande dessinée européenne ».
Durant les années 1930, Hergé diversifie son activité artistique (illustrations de journaux, de romans, de cartes et de publicités), tout en poursuivant la bande dessinée. Il crée tour à tour Les Exploits de Quick et Flupke (1930), Popol et Virginie au pays des Lapinos (1934) et enfin Jo, Zette et Jocko (1935). En 1934, il fait la rencontre de Tchang Tchong-Jen, jeune étudiant chinois qui bouleverse sa pensée et son dessin. Après la Seconde Guerre mondiale, le personnage de Tintin lui confère une renommée européenne, puis internationale. En parallèle, il doit rendre compte d'accusations de collaboration avec l'ennemi pendant l'Occupation allemande et de dessins jugés parfois racistes, ce qui entache sérieusement sa réputation.
Durant les années 1950 et 1960, perfectionniste et visionnaire, il met au point une technique graphique dont il sera bientôt le chef de file : la « ligne claire ». Après des hommages internationaux et d'ultimes retrouvailles avec Tchang (1981), il meurt d'une leucémie en 1983. Depuis sa mort, il est considéré comme l'un des plus grands artistes contemporains et a vendu plus de 200 millions d'albums, traduits dans une centaine de langues. Aujourd'hui, l'œuvre d'Hergé est gérée par sa veuve Fanny Rodwell via la société Moulinsart et la Fondation Hergé.
Ma quotidienne
♥♥♥♥♥
Tout ceux dont le présent n'existe qu'en fonction d'un futur rêvé et idéalisé, cultivent cette illusion permanente d'un « après » plus satisfaisant, et risquent ainsi d'oublier de vivre le temps qui passe.
Ils restent sourds aux propositions, peut-être plus simples mais non sans intérêt, que chaque journée et chaque instant peuvent apporter.
(C. Bensaid)
samedi 21 mai 2011
HUMOUR
La quotidienne
♥♥♥♥♥
Peut-il rien y avoir de plus stupide que l'impression qu'éprouvent certains
- je veux parler de ceux qui se vantent d'être prévoyants ? -
Ils multiplient leurs activités dans le but de pouvoir mieux vivre;
ils bâtissent leur vie en la dépensant !
Ils font des prévisions à long terme.
Or la meilleure façon de laisser sa vie se perdre, c'est de la remettre à plus tard ; et cette attitude les prive de chaque jour qui vient, leur dérobe le présent tout en plaçant leurs espoirs dans le futur.
Le plus grand obstacle à la vie est l'attente qui est suspendue au lendemain et qui gâche le jour présent.
Tout ce qui est à venir repose dans l'incertitude :
vis sans t'arrêter !
(Sénèque)
vendredi 20 mai 2011
Ma quotidienne :
♥♥♥♥
John Lennon :
« La vie est ce qui s'écoule
pendant que nous perdons notre temps à faire des projets. »
Nos enfants grandissent sans que nous nous en apercevions,
les êtres chers s'éloignent et meurent,
nos corps se dégradent et nos rêves s'enfuient.
Nous sommes passés à côté de l'essentiel...
Beaucoup vivent leur existence comme s'il s'agissait d'une répétition costumée avant la grande première.
Ils se trompent !
personne n'a la certitude d'être encore sur terre demain matin.
Le « présent »,
voilà le seul temps sur lequel nous ayons quelque contrôle.
Quand notre attention est fixe sur ce présent,
nous chassons aussitôt la peur de nos esprits,
cette peur à l'égard d'événements qui peuvent survenir demain.
Pour lutter contre la peur,
la meilleure stratégie consiste à ramener votre attention sur le présent.
N'anticipez pas au point de vous angoisser.
Entrainez-vous à rester concentré sur « l'ici et maintenant ».
Ces efforts seront largement récompensés.
(R. Carlson)
Jeudi 19 Mai 2011
Le 19 Mai 1994
L'Amérique pleure la mort,
de son ex-première dame des Etats-Unis..
Jacqueline Kennedy puis Onassis, née Bouvier
(28 juillet 1929 – 19 mai 1994)
est l'épouse du 35e président des États-Unis, John Fitzgerald Kennedy, puis de l'armateur grec Aristote Onassis.
Née Jacqueline Lee Bouvier le 28 juillet 1929 à Southampton, Long Island, dans l'État de New York, elle est la fille aînée de John Vernou Bouvier III, un riche agent de change de Wall Street, et de son épouse Janet Norton Lee. Elle a une sœur cadette, Caroline Lee Bouvier, née le 3 mars 1933, qui sera connue plus tard sous le nom de Lee Radziwill. Quelques mois après sa naissance, la crise de 1929 fait perdre aux Bouvier une bonne partie de leur fortune.
Jacqueline Bouvier est essentiellement d'origine irlandaise et anglaise, ses origines françaises paternelles étant assez distantes. Son dernier ancêtre français étant Michel Bouvier (1792-1874), un ébéniste originaire de Pont-Saint-Esprit, qui s'installa à Philadelphie en 1815 après avoir servi dans l’armée de Napoléon Ier. La famille Bouvier voulant rehausser son origine fit croire qu'il était de noble naissance.
Favorisée dès la naissance par la fortune, elle passe ses premières années à New York et à East Hampton, Long Island, au domaine familial de la famille Bouvier, appelé « Lasata », où elle devient dès son très jeune âge une cavalière accomplie, un sport qui demeurera une passion toute sa vie. Enfant, elle aime aussi le dessin, la littérature et la poésie. Cette enfance idyllique se termine lorsque ses parents se séparent. Les nombreuses aventures de John Bouvier ainsi que son alcoolisme conduisent sa femme à se séparer de lui en 1936. Bien qu’ils se réconcilient pour une brève période de quelques mois au cours de l’année suivante, le mariage sera définitivement dissous en juin 1940.
Alors que son père ne se remarie pas, sa mère épouse le richissime Hugh D. Auchincloss, en 1942, avec qui elle a deux enfants, Janet et James Auchincloss. Jacqueline et sa sœur Lee s'installent alors avec la nouvelle famille de leur mère, partageant leur temps entre les deux vastes domaines de leur beau-père, « Merrywood » en Virginie, et « Hammersmith Farm » au Rhode Island, tout en restant près de leur père qui vit à New York.
Jacqueline Bouvier commence à fréquenter John Fitzgerald Kennedy, une star montante du parti démocrate de douze ans son aîné, après l'avoir rencontré en mai 1952, au cours d'un dîner organisé par un ami commun, le journaliste Charles Bartlett. Après l'élection de Kennedy comme sénateur en novembre, leur relation devient plus sérieuse et mène à une demande en mariage. Leurs fiançailles sont officiellement annoncées le 25 juin 1953.
Jacqueline Bouvier et John Kennedy se marient le 12 septembre 1953 à Newport, au Rhode Island. Le mariage est célébré par le Cardinal Richard Cushing, ami de la famille Kennedy, et est considéré comme l'évènement mondain de la saison avec quelque 800 invités à la cérémonie et 1000 à la somptueuse réception qui suit à "Hammersmith Farm", domaine de Hugh D. Auchincloss, beau-père de Jacqueline.
Après un voyage de noces passé à Acapulco et sur la côte californienne, le couple s’installe à Georgetown, un quartier de Washington (district de Columbia).
Jacqueline Kennedy fait une fausse couche en 1955, puis donne naissance à une petite fille mort-née, le 23 août 1956, que ses parents auraient voulu nommer Arabella Kennedy. Cet évènement conduit à une brève séparation du couple qui se réconcilie peu après. L’année suivante, la carrière de John Kennedy prend un tour nouveau : Kennedy échoue de peu à la nomination par son parti à la candidature pour la vice-présidence des États-Unis.
John Kennedy redoute que sa femme n’ait plus d’enfants, mais elle finit par mettre au monde sa fille Caroline Bouvier Kennedy le 27 novembre 1957 à New York. Kennedy est déjà élu président des États-Unis quand son fils John Fitzgerald Kennedy Jr. naît le 25 novembre 1960 à Washington. Le dernier enfant du couple est Patrick Bouvier Kennedy, né prématurément le 7 août 1963 et mort deux jours plus tard, des suites d'une malformation pulmonaire.
Première dame des États-Unis
John Fitzgerald Kennedy prête serment en tant que trente-cinquième président des États-Unis le 20 janvier 1961. Le somptueux gala qui marque le début de son mandat est organisé par Frank Sinatra et Peter Lawford. De nombreuses célébrités, entre autres Mahalia Jackson, Laurence Olivier, Jimmy Durante, Harry Belafonte et Bette Davis s’y produisent. Jacqueline Kennedy est désormais connue sous le surnom de Jackie, tandis que son époux, le président, est appelé John. Alors âgée de 31 ans, elle fait partie des plus jeunes premières dames de l’histoire des États-Unis[18]. Bien qu’elle ait fait de grands efforts pour soutenir son époux durant ses campagnes électorales, elle ne s’immisce pas dans la politique pendant qu’il gouverne.
Le 20 octobre 1968, Jacqueline Kennedy épouse l’armateur et milliardaire grec Aristote Onassis sur l’île de Skorpios, propriété des Onassis, dans la mer Ionienne. À la suite de la cérémonie nuptiale, Jacqueline Onassis perd son droit à la protection du Secret Service, normalement réservé aux veuves des présidents américains.
Quoique son second époux soit orthodoxe, Jacqueline Onassis demeure catholique romaine. Néanmoins, elle fait des efforts pour apprendre le grec et exige que ses enfants l’apprennent également. Depuis qu’Aristote Onassis et Jacqueline Kennedy s’étaient rencontrés en 1963, ils sont restés en contact. Cependant, Onassis avait en même temps fait la connaissance de Lee Radziwill, avec qui il finira par avoir une brève liaison amoureuse.
Jacqueline Onassis et son mari se voient rarement, car elle vit alternativement en Grèce et en France. La relation est définitivement interrompue par la mort d’Alexandre Onassis dans une catastrophe aérienne, en 1973, alors que ce dernier n’avait que 24 ans. Aristote Onassis est sur le point de demander le divorce quand il meurt le 15 mars 1975 en France des suites d’une myasthénie.
♥♥♥
En janvier 1994, Jacqueline Onassis est diagnostiquée d'un lymphome non-hodgkinien, une sorte de cancer du système lymphatique. Bien qu'optimiste au début, il s'avère assez rapidement qu'elle ne répond pas très bien au traitement. Jacqueline Kennedy Onassis s’éteint dans son sommeil le jeudi 19 mai 1994, à l'âge de 64 ans, à son appartement de la Cinquième Avenue, à 22 heures 15, entourée de ses proches. Le New York Daily News publie sa nécrologie le lendemain.
Jacqueline Onassis est enterrée le 23 mai 1994 selon le rite de l’Église catholique romaine, aux côtés de son premier époux John Fitzgerald Kennedy et de leurs enfants, Arabella et Patrick.
Hillary Clinton, Lady Bird Johnson et Maurice Tempelsman assistent, entre autres, aux funérailles. Bill Clinton, président contemporain des États-Unis prononce son éloge funèbre, déclarant ainsi :
« Dieu lui a donné de grands dons mais lui a aussi imposé beaucoup de souffrances. Elle les a toutes supportées avec dignité »
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Coucou,
Joli tout ce que je vois.. Je rentre tard et j'ai pris L. pour la nuit..
Ta page est très belle on ne s'ennuie pas..
Belle nuit et GROS BISOUS
@ ++++
Une belle page ! excellente semaine à toi ! bisous de nicole !